Vive la forêt de la liberté! (mais pourquoi ça sent l'iode?) [DESESPEREMENT LIBREEEEE VENEEEEEEZ]

11/06/2015

Vive la forêt de la liberté! (mais pourquoi ça sent l'iode?)

Libre libre venez!

La belle dame des ténèbres, aux tons de couleurs funèbres, avançait doucement dans un bois de fleurs d'un rose en émoi total. Mais quel est cet endroit dont nul n'avait jamais entendu parler, que ce soit du violet ou de ces mortiers qui trône au cœur des arbres qui étaient faits de pierre? Ne voulant pas prendre de risques, mais souhaitant ne pas restreindre sa curiosité muette, d'une liane verte elle en toucha un. Mais rien ne se passa, à part que la reine devint toute violette, et par la même occasion, muette. Mais qu'est ce que c'est que ce charabia de fuchsia de pelage?, pensa t elle, agacée et bien avancée par sa curiosité. Si une certaine personne aux marques rouges la voyait, elle ne manquerait pas l'occasion ultime de se moquer de la personne qui provoquait leur rivalité entre elles. Elle décida donc de retoucher le même mortier d'un gris ennuyeux mais majestueux, et un pelage d'habitude revint sans chantage; il se prendra un bon petit lavage vu son odeur maintenant..... Car en effet, le pelage de sa Majesté des ombres sentait.......le poisson, ou sinon un fromage sans âge; mais ça ne sentait pas le savon dur et jaune de Marseille, ça c'était sûr. Et donc la magnifique chatte d'un noir d'obsidienne se décida à écourter sa balade qui lui laissa en mémoire non pas une charade, mais une morale: mère sûreté avant tout quand on ne sait pas où on est!!!

Et c'est là que je me réveille devant une mer d'un bleu pur. Mais c't'ait quoi c'te rêve de fleurs roses? Le narrateur a eu un bug dans sa tête pleine d'abeilles violettes ou quoi?
Je me levai et m'étirai sur le sable chaud, fin, et jaune. Qu'est ce que j'aime mon territoire d'ébène! Mais j'aime aussi être sur la plage aux reflets dorés. Je m'installai confortablement, respirant l'air pur et transparent de l'océan. Il devait être aux environs de midi, le soleil étant très haut dans ce ciel bleu sans nuages. Je me décidai à marcher tout le long de la plage, suivant le rythme des vagues amenant quelques fois des algues vertes; elles sont très nourrissantes, et je pourrai en apporter au Clan. N'empêche, ça se sent que l'été approche, la température étant assez haute; je ne m'étonne pas d'avoir déliré dans mon sommeil aux éclats violets. Je n'avais pas faim, même si tous les oiseaux volant insoucieusement étaient assez alléchants; il y en avait des arc-en-ciel, des bleus, des jaunes, des orangés, un avec une tête de chat et me fixant moi et mes lianes vert sombre.....attend, mais....WHAAAAAAAAAAAAAT?! Et oui, y'avait bien un chat parmi les oiseaux orangés, verts, rouges.......bon, je pourrai allonger la liste pendant très longtemps si vous le vouliez, mais moi, j'ai vraiment trop la flemme! Chat ou chatte, d'ici ou pas d'ici, me prenant les reflets puissants et irisés des vagues dans les yeux, difficile de discerner tous ça! Je m'arrête, et mes lianes vert feuille se mirent directement en position de défense-attaque, en prévoyance.
- WHÉEEEEEE, T'ES QUI, TOI? SORS D'ICI QUE JE TE VOIE UN PEU!
Si je criai, c'est que, même si la mer était très jolie avec ses couleurs et reflets variés, allant du bleu à l'autre bleu et puis ensuite au vert, et bien, elle faisait un beau vacarme si on essayait de parler. Donc pas le choix espèce de tête d’anchois blanc!

Code par xLittleRainbow

11/06/2015

Perdu comme toujours[PV Murmy ]

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D'un saut joli et gracieux, un ombre noir et blanche, aussi discrète qu'un serpent... se prit un rocher, bah oui, tu crois vraiment, toi le lecteur, que j'allais réussir mon saut et bien nan. Enfin bref, je me ressaisis et continua ma route. En penchant légèrement la tête, je pouvais admirer la plage et plus loin la mer. J'avais remarqué avec dépit, que la lanière de mon collier s'était cassé, je l'avais donc attaché à ma patte avant gauche. Je ne savais pas où je marchais, ni dans quelle direction, ni dans quel territoire je me trouvais, j'étais paumé quoi. En réalité, ce matin j'eus l'impression que mon collier m'avait indiqué cette direction, mais comme d'habitude j'étais perdu, ne jamais manger deux souris avant de dormir. Pour mieux me repérer, j'ai décidé d'aller vers la plage. Que fut ma surprise quand je vis, quelqu'un sur la plage. Madame se prélassait au soleil, quelle patate. Elle me fixa et je me figeai d'un coup, sans comprendre quelle regardait les piafs. Je compris, malheureusement, que je n'étais pas invisible.
- WHÉEEEEEE, T'ES QUI, TOI? SORS D'ICI QUE JE TE VOIE UN PEU!
J'eut tellement envie de lui crier dans les oreilles après ça. Je sortis petit à petit de ma zone d'ombre, pour rejoindre la chatte sur la plage. Je lui sauta dessus pour la plaquer au sol et pour dire.
- ON T'AS PAS APPRIS A NE PAS CRIER SUR LES GENS !
Je la laissai se relever et viens m’asseoir en face d'elle. Malgré ma queue enroulée autour, mes pattes cachaient des griffes acérées, prêtes à éventrer si nécessaire, son ennemi...

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11/06/2015

Vive la forêt de la liberté! (mais pourquoi ça sent l'iode?)

Libre libre venez!

Saleté de chatte de l'Ouragan! Je me laissai plaquer au sol, histoire de lui faire croire son faux avantage (je suis cheffe attend, tu crois vraiment qu'une petite
femelle de l'Ouragan peut me battre comme ça?!). Elle me lâcha. Encore heureux pour elle, car elle aurait subit une défaite écrasante. Mais je vais pas me laisser faire comme ça. Après tout, elle a voulu me sauter dessus pour me battre, et en plus elle m'a crié dessus. Je prend ça pour de la défiance. Je hais les attitudes hautaines. Et s'en était une. D'ailleurs, mademoiselle mit tranquillement sa queue autour de ses pattes. Mon agacement monta en flèche. Je me levai, et m'approchai. J'optai pour la tactique du tournons-autour-d'elle-pour-la-déstabiliser. Comme ça, elle ne savait pas vraiment où j'étais. Et ça la déstabilisai bien aussi! Elle tournait la tête de gauche à droite, ne sachant pas ce que j'allais faire. L'odeur d'une petite peur flottait dans l'air. C'est bien, c'est le but. Et je vais lui faire encore plus peur. Histoire qu'elle ne vienne plus se pavaner devant moi, sur mon Territoire. Je lui sautai dessus, la faisant basculer sur le sol. Je la bloquai avec seulement trois de mes pattes (ce qui était largement suffisant), la quatrième, pointant une griffe sous son cou.
- Dis donc ma petite minette, tes parents ne t'ont jamais appris qu'il ne fallait jamais manquer de respect ou se moquer d'un chef de Clan, sur son propre Territoire, et directement à lui?
J'appuyai la griffe plus fort sur sa gorge. Elle déglutit. Difficile de savoir si elle était morte de trouille ou non. Mais j'allai m'en assurer fissa.
Je ne lui coupai pas la gorge. Au lieu de cela, une claque retentissante fit echo sur toute la plage. Et j'avais un peu sortit les griffes, ce qui fait qu'une petite estafilade trônait sur la joue de la chatte. Je ne veux pas la tuer. Je veux juste montrer aux autres de ce Clan détesté par ma personne, qu'il ne faut pas se foutre de ma gueule comme ça sans en tirer des conséquences.
Elle serra les dents. Yeux pleins de rage?
- Je te conseille de dégager d'ici et de retourner dans ton Territoire plein de défécations de proies, si tu tiens à la vie... A moins que tu n'en veuilles encore plus.....
Je la lâchai, la prit par la peau du cou comme un chaton, et l'envoya valser dans les airs, vers sa destination, qui était un tas d'algues. Mais vu sa tête et ce que j'ai pu voir de son caractère, elle ne comptera sûrement pas se barrer d'ici sans m'avoir foutu un coup. Et bien, qu'elle vienne, je l'attend.

Code par xLittleRainbow

11/06/2015

Vive la forêt de la liberté! (mais pourquoi ça sent l'iode?)[PV Tenebrou ]

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Je pense que ma démonstration de force n’a pas plu à madame la chef, car oui j’avais attaqué une chef. Je savais les risques que j’encourais, mais je ne manque pas de courage et une stupide minette du clan de la pénombre ne m’effrayait pas. Elle se releva et tourna autour de moi tel un charognard autour d’une carcasse. J’étais un peu perdu pour dire, je tournai vaguement la tête de droite à gauche, suivant ses mouvements. D’un coup sec et précis, elle me plaqua au sol. Je remarque qu’elle n’appuyait sur moi qu’avec 3 pattes, c’est vrai que ce gros patapouf m’aurait brisé les os si elle avait mis toutes ses pattes. Sa dernière patte se trouvait sur mon cou, les griffes à découverts.
- Dis donc ma petite minette, tes parents ne t'ont jamais appris qu'il ne fallait jamais manquer de respect ou se moquer d'un chef de Clan, sur son propre Territoire, et directement à lui?
Moi, manquer de respect à un chef ? Nan… Je venais parler avec mes amis les poissons, de toute façon ils auront des choses plus intéressantes à me dire, que les discours de madame la chef ennemie. Tu ne vas pas me dire que j’ai blessé le petit cœur de madame ? Enfin bref, elle insista plus sur ma gorge. Je n’avais pas peur, je cherchais un moyen de me libérer de son emprise, oui pour fuir, je ne veux pas combattre madame sous prétexte que je lui ai manqué de respect. Pour continuer, elle m’entailla la joue. Je gémis de douleur, mais de toute façon je ne pouvais rien faire d’autre, j’étais bloquée. Je serra les dents et je la regarda. Mes yeux flamboyaient de rage et de vengeance.
- Je te conseille de dégager d'ici et de retourner dans ton Territoire plein de défécations de proies, si tu tiens à la vie... A moins que tu n'en veuilles encore plus.....
Mon territoire est le plus beau de tous les autres, enfin c’est mon opinion. Elle me lâcha, je me préparais à partir, mais elle m’attrapa par la peau du cou tel un chaton ou une proie morte et me jeta en l’air. J’atterris tout droit dans les algues. Ma vengeance sera terrible ! Je me releva. Je courrai dans sa direction à la vitesse de l’éclair. Je passa sous son flan et lui fit une entaille. Elle bascula sur le côté et j’en profita pour la plaquer au sol.

- Tu vois je pense qu’après ce que je vais te faire c’est toi qui partiras en courant.

Je la martela de coups de griffes et je me fis un malin plaisir à la faire saigner. Je m’arrêta, elle me poussa avec une de ses pattes et se releva. Elle avait mauvaise mine, mais son regard fier n’allait pas abandonner. Je l’attrapa par le cou à mon tour et déploya mes ailes. Je m’éloigna de la plage et la lâcha dans l’eau de mer. Je la vis sombrer dans les profondeurs de l’eau…

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11/06/2015

Vive la forêt de la liberté! (mais pourquoi ça sent l'iode?)

Libre libre venez!

[center][b]Je tombai dans l'eau tiède (heureusement) dans un gros "PLOUF!!!". La mer nettoya mes blessures. De toutes façons, ça se voit bien que c'est une petite nunuche qui n'y connait rien aux combats. Aux vrais. Et bien je vais lui montrer à c'te p'tite co***! Elle plane dans les airs, semblant satisfaite de sa fausse victoire. Mais elle ne sait certainement pas à quel point je me réjouis de la future mienne. Elle va s'en mordre les dents je vous dis! Mais y'a un petit souci sur ce détail.....ben oui, elle pourra pas trop vu qu'elle n'en aura plus...
Je pris un bon petit bain, m'amusant quelques minutes avec les poissons. J'espère que cela l'agacera. Une pierre deux coups si c'est le cas: je m'amuse, et elle ça l'énerve, ce qui me réjouit à fond!
Je terminai, et retournai sur le sable meuble et chaud, ignorant superbement celle qui ignore telle la grande ignorante qu'elle est, ce qui va lui arriver. Je souris à cette pensée. J'étais déjà toute sèche (pas comme une "seiche"!). Je me tournai vers le piaf qui restait comme une tache dans le ciel. Pas un nuage, et un soleil éclatant. J'espère que ça lui tape bien sur le crâne, histoire que ça lui fasse une migraine en plus, après ce que je vais lui faire. L'adrénaline coule à flots dans mes veines, comme toujours en prévision d'un combat. La forme et moi ne sommes alors qu'une. J'inspirai profondément.

Mes lianes se dirigèrent à une allure ahurissante vers l'idiote, l' agrippant fort et brutalement; elle la ramenèrent avec violence sur la partie dure du sable, là où les vagues se jettent. Elle aura beau se débattre ou essayer de déchirer ses liens, elle n'y arrivera pas. Je m'approchai, hors de danger, puisqu'elle était parfaitement immobilisée. Je l'interpellai:
- Alors...... tu choisis quoi? Je t'arrache lentement les griffes unes à unes suivies des dents, ou je te défonce à un point tel que tu ne pourras plus marcher?
Mes lianes rapprochèrent sous ma volonté le visage de la future martyre.
- Sinon les deux, qu'est ce que t'en dis petite débile de l'Ourang-Outan?
Je lui assénai une autre baffe griffante sur la même joue que tout à l'heure.
- C'est ça ma petite, serre les dents tant que tu les as......
Un gros coup classe d'une patte arrière souple fit grand mal à son ventre. Ça allait commencer.
Les lianes se resserrèrent telles un boa constrictor, autour de ses membres, et aussi autour de sa gueule, histoire qu'elle ne me morde pas avec ses pleines de charognes.
Et c'est ainsi que pendant une heure durant, qu'une jeune chatte téméraire et arrogante de l'Ouragan, se prit une série de blessures de toutes sortes de la part de moi et de mes lianes flottant dans le vent devenu soudainement violent. A la fin, elle tomba au sol, en sang. Enfin, elle tomba car je l'avais lâchée de telle sorte à ce qu'elle s'écrase sur son petit museau.
Je m'éloignai peu à peu, en suivant les vagues, restant toujours sur la plage. Je lui lançai, sans ni tourner la tête, ni m'arrêter:
- Maintenant, peut-être auras tu compris qu'il ne faut pas chercher des noises quelqu'un du Clan de la Pénombre....
Je crachai:
- ....espèce d'idiote!
Et je continuai tranquillement ma balade sur la plage, laissant derrière moi une chatte de ce Clan détesté par moi, en piteux état, et qui retiendra peut être cette morale: à force d'être arrogant et téméraire face à plus fort que soi, la colère de celui ci peut se mettre en émoi, affligeant des blessures tel un roi à l'imbécile.

C'est vrai quoi, pourquoi j'arrêterai ma balade pour cette sottise provoquée par cette sotte, qui aura maintenant bien du mal à sautiller? Je regardai le paysage, mes sens et réflexes à l'affût.

Code par xLittleRainbow

11/06/2015

Vive la forêt de la liberté! (mais pourquoi ça sent l'iode?)[PV Tenebrou]

❝

Je regardais ma victime ce débattre dans l’eau pour rejoindre la rive. Il faudrait qu’elle apprenne à nager plus vite du côté de nos chers amis du Torrent. Elle regagna vite la plage. Ma joie fut de courte durée, avec ses lianes toutes moches elle m’agrippa, m’approchant dangereusement de madame. Elle me dit des choses auxquelles je ne prêtai pas attention. Ensuite elle se défoula sur moi avec ses lianes. Une heure de souffrance et de coups. Je m’écroulai au sol le souffle coupé, le pelage ensanglanté… Je fermai les yeux pour que la souffrance soit moins forte. Je me rappelai de ma mère, celle que j’avais tant chérie et qui, du jour au lendemain, m’avait abandonné. J’ouvrir les yeux et distinguai juste sous mes yeux, mon collier qui fut mon seul ami, pendant mon apprentissage, le voir dans cet état me fendit le cœur. Je me relevai comme si mes forces étaient revues. Je sortis mes griffes. J’arrivai à peine à marcher. Je ramassai mon collier et le rattachai à ma patte.

- Tu crois pouvoir souiller mon pelage de tes griffes…

Soudain, je marchai dans sa direction et par-derrière lui bondit dessus. Plaquée au sol, elle grogna les crocs à découverts.

- Tu te trompes !

Je ne reconnaissais plus, j’étais tellement empli de haine que je crus voir mes yeux virer au rouge. Je la pris par la peau du cou comme elle l’avait fait pour moi plutôt. Je resserrais mes crocs petit à petit. Le sable fut rapidement gorgé du sang de mon ennemi. Elle me griffa le museau, ce qui me fit lâcher. Elle avait mauvaise mine, son sang continuait à couler pour atterrir dans le sable. Elle sortit les griffe pou lacérer mon dos de coups de griffes. Je me débarrassai d’elle d’un coup de patte bien placé. Elle se releva en boitillant. Elle essaya de me sauter dessus mais je m’envolai et partis. Soudain, j’eut l’impression de reprendre conscience de mes actes. Je baissai la tête pour voir une dernière fois ma plus brillante victoire…

Fin de mon côté.

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